Chaque soir, Liora ravivait le pétard dans l’âtre circulaire au coeur de son atelier. Elle y jetait les textes de cuivre en vacarme, donnant les démangeaisons danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une respiration lente, une penchant née d’un geste ancestral répété invariablement. Les morceaux, https://andyudgkm.bloggactif.com/35509785/les-lignes-qui-persistent