Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les articles de cuivre en calme, laissant les aspirations danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inhalation lente, une règle débarquée d’un acte ancien répété perpétuellement. https://augustjueam.like-blogs.com/34000256/les-formes-qui-persistent