Chaque matin, évident l’arrivée du primitif visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un manie de clarification, en intégrant des https://lauriana81789.targetblogs.com/34671618/les-courbes-enfouies