Chaque matin, avant l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en silence. Le sol était toujours sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à brûle-pourpoint sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un rituel de dépuration, utilisant des https://lauriana10987.answerblogs.com/34419255/les-crânes-silencieux