La gare était plongée dans une brume dense, un étoffe épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de la passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait stable, suivant l’immense matériel d’acier noyer qui sifflait délicatement, prête à https://remingtonrpjex.tusblogos.com/34141744/les-numéros-de-l-avenir