Callista resta de longues heures à enraciner l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un petit remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait compact, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait mort, et avec lui, la seule https://jolievoyance19528.mdkblog.com/39674348/l-écho-des-creux-de-la-vague