L’aube s’étendait lentement sur Venise, projetant une vie pâle par les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la limpidité, de façon identique à un puits sans fond. La magnanime vénitienne restait figée amenées à la surface lisse du verre, son regard verrouillé sur https://charliemcmwd.blogdon.net/le-rayonnage-des-obscurités-49956027