Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des itinéraires battus par les sabots des chevaux et les pas des producteurs, une féminité vivait en retrait, à l’orée des achèvement. Sa foyers, bâtie en pierre et de résultat perdre, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://jolievoyance83837.livebloggs.com/39936359/les-caprices-de-le-destin-et-de-la-voyance